Aujourd’hui, on n’a vraiment aucun plaisir d’écrire sur les romans et même sur la littérature en général. On redoute le voisinage de la misérable et charlatanesque critique des marchands ; il y a peu de place pour l’examen tranquille, attentif, comparatif.
Kafka éprouvait quelques difficultés avec la langue tchèque dès lors qu'il lui fallait "dépasser l'usage courant". Cela ne l'empêche pas d'écrire à Milena, en mai 1920 : "Je n'ai jamais vécu chez les Allemands ; l'allemand est ma langue maternelle, il m'est donc naturel, mais j'aime bien mieux le tchèque."