Critique

Phoenix

Les Cahiers du cinéma et Positif ont rendu compte du film de Christian Petzold. Les premiers de manière expéditive, les seconds plus longuement.

Une fiction lazaréenne ?

"Tout devrait guider Phoenix vers une incontestable hauteur artistique, mais à l’arrivée, le film – quoique sans faute majeure – n’apparaît que comme l’écho assourdi de la grande fiction lazaréenne qu’il aurait pu être."

Les yeux ouverts

Novembre 2012. Les Cahiers du cinéma rendent compte de la sortie en France du film Amour de Michael Haneke. Pouvait-on faire pire ?

Article II

Dans cet article, l'auteur tente de démontrer que Michael Haneke n'a pas changé. Le titre : "Haneke père sévère." Le surtitre : "Lire le cinéaste autrichien dans le texte permet de mieux comprendre les impasses de son cinéma." La messe est dite.

Article I

Dans cet article, Jean-Philippe Tessé tente de démontrer que Michael Haneke n'est pas l'humaniste que l'on décrit : "À quoi s'intéresse vraiment notre humaniste tardif ? À deux choses, comme dans tous ses films : la terreur et le rapport du spectateur au film et à ses propres émotions."

L'éditorial

Stéphane Delorme, rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, signe l'éditorial.
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