Comment l'Opéra national de Paris peut-il s'abaisser à son tour à produire et promouvoir ("… en torturant allègrement (sic) la musique de Monteverdi pour la faire servir de fond sonore", peut-on lire) une "œuvre" aussi minable ?
"Le lecteur se trouve compromis tout à la fois par le point de vue du narrateur qui l'identifie à lui et dégradé par son langage souillé", note François Rastier. "Il s'agit de détruire la culture de l'intérieur sous les applaudissements de milieux culturels." CQFD.
On ne s'embarrasse plus aujourd'hui ni d'éthique, ni d'esthétique. Plus c'est kitsch, vulgaire, prétentieux et insignifiant, plus ça passe.
Lettre de diffusion de l'Opéra national de Paris du 26/09/19 :
"Nouveau film ! Découvrez "Le Couronnement" la création de Jonathan Littell
pour la 3e Scène !"