L'éditorial du maire de Saint-Étienne est d'une nullité difficilement égalable : ses magnifiques créations / un magnifique voyage musical / à de magnifiques pages lyriques / il présentera de magnifiques œuvres symphoniques / c'est donc un magnifique voyage musical. À qui s'adresse ce torchon ? (p. 5) Les Stéphanois ne sont pas niais.
Les photographies, d'une pauvreté affligeante, participent de la destruction programmée de cette institution (1).
Note