"An interactive plan for a Holocaust museum envisioned sorting visitors into victims, executioners and collaborators. […] The presentation notes the technology is used to create "fake celebrity pornographic videos" but might be repurposed for Holocaust remembrance." C'est Jonathan Littell qui va être content... Il fallait s'y attendre, la société du divertissement engendre cela. Dans Exterminations et littérature. Les témoignages inconcevables, paru en 2019, François Rastier dit son dégoût pour toutes ces formes de fictionnalisation. Là, on franchit encore un seuil dans l'abject. Adorno et Imre Kertész ont bien décrit ce processus, mais encore faut-il savoir lire.