Cinéma

Welcome in Berlin

"La liberté humaine rejoint cette déprise déjà animale des solitaires à l'égard des hordes ou des bandes."

Gommer le passé ?

"Ainsi elle gomme son vécu et le passé hitlérien."

Alexander Kluge

Phoenix "ravive en filigrane le récit d'Alexander Kluge Une expérience d'amour".

Références prestigieuses

Deux films se ressemblent sur un point. Et alors ?

À la frontière suisse

Résumer un film est un exercice difficile, qui engage son auteur.

Une fiction lazaréenne ?

"Tout devrait guider Phoenix vers une incontestable hauteur artistique, mais à l’arrivée, le film – quoique sans faute majeure – n’apparaît que comme l’écho assourdi de la grande fiction lazaréenne qu’il aurait pu être."

Les faiseurs

Pour Otar Iosseliani, aujourd'hui, les films sont bavards. Rien ne se passe sur l'écran. Or, il y a un langage cinématographique.

Le retour du refoulé

Une fois que l'on a mis à jour ce passé, comment continuer de vivre ? En essayant de répondre, on ne peut qu'être pris de vertige.

L'âge d'or

"Dire que Mizoguchi était un meilleur cinéaste que Kurosawa ou que Ozu était un meilleur cinéaste que Mizoguchi ne rime à rien."

Les yeux ouverts

Novembre 2012. Les Cahiers du cinéma rendent compte de la sortie en France du film Amour de Michael Haneke. Pouvait-on faire pire ?

The bubble

Ces trois articles, qui n'en font qu'un, sont d'une invraisemblable stupidité. Comment peut-on publier ça ? La vulgarité du propos perce jusque dans l'écriture. Et l'on passe à côté de l'essentiel.

Article II

Dans cet article, l'auteur tente de démontrer que Michael Haneke n'a pas changé. Le titre : "Haneke père sévère." Le surtitre : "Lire le cinéaste autrichien dans le texte permet de mieux comprendre les impasses de son cinéma." La messe est dite.

Article I

Dans cet article, Jean-Philippe Tessé tente de démontrer que Michael Haneke n'est pas l'humaniste que l'on décrit : "À quoi s'intéresse vraiment notre humaniste tardif ? À deux choses, comme dans tous ses films : la terreur et le rapport du spectateur au film et à ses propres émotions."

L'éditorial

Stéphane Delorme, rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, signe l'éditorial.

L'avenir du cinéma ?

"Jusque dans les années 1990, les séries américaines étaient considérées comme le diable. Avec Les Soprano, ou The Wire, elles ont acquis un statut d'œuvre d'art. Les étudiants de la Femis sont aujourd'hui autant sériephiles que cinéphiles : Mad Men fait autant partie de leur bagage culturel que Pierrot le fou ou M le maudit."

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